Education d'une soumise episode 1(fantasme)

Je repensais à la proposition du député et en parlait à ma femme. Elle me dit que cela pourrait être une expérience intéressante mais qu'elle avait un peu peur quand même. Je lui répondit que je serai là et que nous arrêterons tout si cela dégénérait. Elle donna son accord et je pût téléphoner au député. Celui-ci nous invita à venir le samedi suivant. Le jour dit , mon épouse se prépara, s'épilant soigneusement la chatte et l'anus, puis revêtit sa tenue de soumise. Nous partîmes pour le manoir où nous reçut le maître de lieu. Celui-ci nous reçut à visage découvert, nous indiquant de cette manière que nous faisons parti du club . Je lui avouait l'avoir reconnu à la voix lors de la soirée chevaline mais que par discrétion,  je n'en n'avait rien dit. Il m'en fût reconnaissant.  Nous faisant visiter, il nous montra sa chambre spéciale comme il se plaisait à l'appeler. Des chaînes avec des menottes pendaient des murs, une grande croix avec des liens occupait le fond de la pièce et au milieu trônait une sorte de table. Elle n'était pas très longue et comportait deux ouvertures au deux tiers. Des fers étaient disposés au bas des pattes de la table d'un côté et de l'autre se situaient en bout de deux planches fixées au plateau à gauche et à droite. Je compris qu'elle servait à coucher la soumise sur le ventre en lui attachant les chevilles aux pattes et les poignets à l'autre extrémité,  les trous du plateau servant à faire passer les seins et permettant de les rendre accessible par dessous. La soumise ainsi attachée avait ses trois orifices complètement offerts.  Dans un autre coin se trouvait une fucking machine comportant deux supports permettant de pratiquer la double pénétration.  Je vis mon épouse frissonner devant ce spectacle et lui dit que l'on pouvait tout arrêter. Elle me dit que cela allait aller, que c'était juste par manque d'habitude. Cunégonde, la femme soumise du député, entra et prenant mon épouse par la main l'amena jusqu'à la table. Elle lui demanda de se coucher sur la table ce que mon épouse fit après un temps d'arrêt et lui mît les fers aux chevilles et aux poignets. Ainsi attachée, ma salope avait la chatte qui baillait, l'anus bien découvert et les seins qui pendaient sous la table. Lui demandant si cela allait, elle me répondit que c'était assez confortable et que cela commençait à l'exciter de se sentir entravée et offerte. Effectivement, sa chatte s'humidifait à vu d'œil. Le député qui s'appelait Roger me dit que dans chaque femme sommeillait une soumise et que le simple fait de se sentir liée et offerte révélait ce coté caché et les faisait basculer la soumission. Cunégonde prit le visage de ma femme et l'embrassa à pleine bouche. Celle-ci qui n'avait pourtant pas de tendances lesbiennes répondit à son baisé et maintenant les deux femmes se roulaient de véritables galoches, jouant avec leurs langues. Pendant ce temps, Roger avait rapproché la fucking machine et y fixait des godemichets de six centimètres juste pour commencer en douceur me déclara t- il. Je récupérais de la mouille de la chatte et faisant pénétrer deux doigts dans son anus le lubrifiant pour rendre la pénétration moins douloureuse. Le député me dit de le suivre et se penchant sous la table me montra ce qui s'y trouvait. Il s'agissait d'un système électrique réglable suivant la taille des seins et comportant deux électrodes reliées à un générateur de secousses électriques style clôture à vache mais en moins violent. Il suffisait de régler les électrodes deux millimètres plus bas que le tétons au repos et lorsque la soumise serait excitée, ceux-ci rentreront en érection et viendraient toucher les électrodes provoquant une décharge. De cette manière plaisir et douleur seraient étroitement liés commençant ainsi l'initiation de la soumise. Je fût impressionné par une telle science du dressage. Il régla donc les électrodes deux millimètres plus bas que le bout des tétons de ma femme et alluma le générateur de secousses électriques. Il revient au bout de la table, régla la hauteur de la fucking machine et la mît en mode alterné et petite vitesse pour commencer. Présentant les godemichets à l'entrée des orifices , Roger mît la machine en marche. Le premier gode pénétra la chatte de ma femme qui gémit sous l'introduction puis ressortit tandis que l'autre entrait dans son anus. Il augmenta la vitesse ce qui accrut  les  gémissements de plaisir de ma salope puis passa en mode simultané  ce qui fit lui pousser un rugissement de bonheur. Le traitement durait et soudain les cris de plaisir de mon épouse changèrent de tonalité. Ses tétons,sous l'effet du plaisir, s'étaient érigés et venaient de toucher les électrodes provoquant l'envoi d'une décharge électrique. La tonalité avait changé mais aussi le volume sonore et maintenant elle hurlait de plaisir à pleins poumons. Cette salope aimait ce mélange de plaisir et de douleur assemblés. " C'est gagné, maintenant qu'elle y a gouté, elle ne pourra plus s'en passer. Il faut juste trouver le bon équilibre entre plaisir et douleur " me dit Roger. Il arrêta la fucking machine et le générateur de secousses.  Il remplaça les deux godemichets par des énormes en me disant" comme elle aime tant le sexe de son étalon Sultan, j'en ai fait mouler deux répliques exactes et maintenant, elle va se faire défoncer par deux Sultans et cette salope va aimait ça". Il remit la fucking machine en petite vitesse et mode alterné et démarra. Le gros gode entra doucement dans la chatte de mon épouse qui poussa un cri de douleur vite suivi par un autre lorsque le second perfora son anus. Le passage s'élargissant, la vitesse fut augmentée faisant crier de plaisir la femelle à cheval. Elle poussa un véritable rugissement lorsque le mode simultané fut actionné. Les répliques de bites de cheval la défonçaient littéralement. Roger remit en route le générateur de secousses et aussitôt la tonalité des cris changea. Se penchant sur l'appareil, il toucha à l'intensité des secousses et la tonalité des cris se modifia. Il m'expliqua la difficulté de trouver le bon équilibre entre plaisir et douleur et joignant le geste à la parole tourna le bouton un grand coup à droite ce qui fit changer les cris de plaisir en cris de souffrance. Il revient rapidement à la position précédente et les cris redevinrent de plaisir. Roger augmenta progressivement l'intensité jusqu'à obtenir l'équilibre recherché et à présent ma salope hurlait à gorge déployée et soudain elle libéra un flot de son vagin. Le mélange plaisir et douleur avait révélé son côté femme fontaine. Le député jugeant que cela suffisait pour cette première fois coupa le générateur et la fucking. Il la recula, devoilant ainsi les orifices explosés de ma femme. Celle-ci ne bougeait plus complètement saoule de plaisir et douleur mélangés. Nous la  libérames et lui laissèrent reprendre ses esprits un quart d'heure. Je fût obligé de la soutenir car ses jambes se dérobaient sous elle. Elle me demanda qu étaient les godes monstrueux qui l'avaient défoncer et je lui répondit qu'elle venait de se faire saillir par deux Sultans à la fois. En entendant cela, elle défaillit et comprenait mieux maintenant pourquoi elle avait mal à la chatte et a l'anus. En nous raccompagnant à notre véhicule, Roger nous déclara que c'était une  séance d'initiation et que le choix de continuer ou non nous incombait. Sur le chemin du retour, ma femme ne déclara qu'elle n'avait jamais ressenti cela et que c'était à la limite du supportable tellement c'était fort. Je lui expliquais que c'était un savant mélange entre plaisir et douleur et que c'était pour cela que cette sensation lui était inconnue jusqu'alors. Je lui dit également qu'elle était rentrée dans le club des femmes fontaines et elle me répondit qu'elle avait ressenti une sensation étrange mais fort agréable. Je lui  signifiait que le fait de continuer ou non lui revenait de plein droit et quelle que soit sa décision cela ne changerait rien entre nous. Elle me répondit qu'elle voulait continuer et que je pouvais avertir Roger qu'il avait une nouvelle élève. . merci pour vos commentaires !?