CONCOURS HIPPIQUE (fantasme)

Épisode où ma salope d'épouse se fait fister pendant qu'elle se fait enculer par un cheval Quinze jours après l'épisode avec Sultan, le directeur du haras nous téléphona annonçant un soirée spéciale le samedi soir suivant et qu'il serait ravi que nous y participions. Je posais la question à ma femme qui accepta avec joie tellement elle était en manque de la grosse queue de son étalon chéri. Je confirmais donc notre présence au directeur qui nous donna rendez-vous à  vingt heures au lieu habituel. Mon épouse me dit qu'elle avait hâte d'être à samedi et de se faire saillir comme une jument. Elle m'avoua qu'elle était très excitée et que ses orifices étaient tous dilatés. Joignant le geste à la parole, elle releva sa robe et ôta sa culotte. Se couchant sur le ventre sur la table de la cuisine et écartant les jambes, cette salope tira sur ses fesses pour m'exhiber ses orifices. Sa chatte luisante de mouille baillait et son anus ouvert d'au moins quatre centimètres ! Elle me supplia de la fister analement pour lui rappeler la monstrueuse sodomie chevaline qui lui avait donnée tant de plaisir. Récupérant de la mouille, je m'en enduisit la main et l'appliquait sur sa rondelle. Celle-ci s'ouvrit sans difficulté et ma paluche fut comme aspiré par le cul. Ma cochonne poussa un soupir de satisfaction et me demanda de rester comme cela. C'est elle qui recula et ne s'arrêta que lorsque la moitié de mon avant bras soit environ trente centimètres, se trouvait dans son fondement ! Elle avait fait de même avec le sexe chevalin : ma salope aimait décidément la sodomie très profonde. Elle commença à faire coulisser le membre sur toute sa longueur en criant de bonheur. Mais il me restait une main et profitant du fait qu'elle s'était déplacée vers l'avant, la mît à l'entrée de sa chatte béante. En reculant, mon épouse la fit rentrer et toucher son col de l'utérus ce qui lui déclencha un formidable orgasme. Maintenant, elle s'agitait comme une furie sur mes deux avant bras, se faisant fouiller ainsi sans ménagement. Cette garce n'arrêtait pas de jouir et la cyprine coulait sur mon bras. Elle me demanda de retirer mes mains car elle était épuisée par tant de jouissance. Les ôtant de ses orifices, je les laissais béants comme lors de la saillie chevaline. Pour me remercier, elle me prit en bouche et fit jaillir mon sperme qu'elle avala avec gourmandise. Je lui déclarais que c'était un excellent exercice pour la soirée de samedi. Le jour dit , nous nous rendîmes au haras. Sur le parking se trouvaient trois véhicules de luxe. Le directeur n'avait pas menti: c'était bien des femmes de la haute société qui venaient se faire saillir par des chevaux ! Pénétrant dans l'écurie, nous découvrîmes trois couples avec le directeur. Ils portaient tous un loup ne voulant pas être reconnu vu leur place importante dans la société. Le responsable du haras nous présenta aux autres convives en vantant les prouesses de mon épouse. Il proposa un concours en trois manches. La gagnante serait celle qui aurait fait jouir son cheval la première. Elle remporterait quatre points, la deuxième trois et ainsi de suite. La grande gagnante serait celle qui totaliserait le plus de points. La première épreuve concernait la fellation, la seconde le rapport vaginal et la dernière l'anal. Les femmes ôtèrent leurs manteau apparaissant dans des tenues affriolantes. Il y avait là une dame de forte corpulence appelée Juliette, une autre du gabarit de mon épouse se nommant Marie Astrid et une dernière toute maigre répondant au prénom de Cunégonde. Celle-ci arborait une tenue de soumise avec des piercings aux seins et aux lèvres vaginales auxquels étaient attachés des poids. Me dirigeant vers celui qui devait être son mari,  j'engageais la conversation en le félicitant d'avoir une telle soumise. Il me répondit que c'était son épouse et que ce que je voyais là était le résultat de nombreuses années de dressage. En écoutant sa voix, je la trouvais familière, me demandant où je l'avais déjà entendue. Pour me montrer combien sa femme était soumise, il la fit pencher en avant découvrant ainsi un gros plug anal qu'il ôta sans ménagement. Il devait faire au moins dix centimètres de diamètre et l'anus restait béant. La concurrence s'annonçait rude pour ma cochonne! L'homme lui ôta les poids et les piercings des lèvres vaginales  mais lui laissa ceux des seins. Le directeur annonça que la première épreuve allait commencer.  Les quatre femmes se mirent en position sous les quatre chevaux présents dans l'écurie. Le responsable donna le départ et les quatre femmes commencèrent leur fellation chevaline. Marie Astrid se débrouillait très bien pratiquant cela comme une professionnelle. Visiblement,  la bourgeoise aimait sucer. Les autres y arrivait correctement tandis que ma femme avait du mal à emboucher le gland de son étalon Sultan. Elle y réussit enfin et redoubla d'efforts pour faire jaillir la semence chevaline. Le concours devait motiver ces salopes car elles s'activaient avec entrain. Marie Astrid fût la première à faire jouir son cheval et avala la totalité du sperme. La deuxième Cunégonde qui fit de même et la troisième mon épouse qui réussit à tout avaler,  motivée sûrement par l'enjeu. Juliette ferma le concours et ne pût  tout engloutir. Le résultat de la première épreuve était le suivant : Marie astride quatre points,  Cunégonde trois mon épouse deux et Juliette zéro car elle n'avait pas tout avalé. La deuxième joute pouvait commencer. Les quatre salopes se remirent sous leur étalon et positionnèrent le gland à l'entrée de leur vagin. Au top départ, elles firent rentrer le vit dans leur entrailles. Sans problème pour Juliette, Cunégonde et mon épouse mais Marie astride avait plus de mal. Elle y parvient finalement et commença sa calvade sur le vit . À présent, les quatre putes chevalines s'agitaient avec frénésie en poussant des cris de plaisir. Pendant ce temps nous commentions, le maître de Cunégonde et moi-même,  les exploits respectifs des femmes. Je cherchais toujours à mettre un visage sur cette voix familière. Juliette fut la première à recevoir le sperme chevalin dans son vagin suivie de Cunégonde et de mon épouse, Marie Astrid fermant la marche. À l'issue de cette manche,les résultats étaient les suivants : première Cunégonde avec six points, deuxième Marie Astrid cinq , ma femme quatre ex-aequo avec Juliette. Mon épouse semblait contrite de sa prestation mais j'allai la rassurer en lui disant que c'était la reine de la sodomie et qu'elle allait remporter cette manche haut la main. Nous preparames  nos femelles respectives pour la saillie anale en leur dilatant l'anus et en le lubrifiant avec le sperme récupéré dans le vagin. Les concurrentes se mirent en place pour la dernière épreuve. Elles mirent les énormes glands sur leurs rondelles et attendirent le top. Ma cochonne prit un départ canon en s'enfonçant d'un coup trente centimètres de bite chevaline dans le cul suivi de près par Marie Astrid et Cunégonde. Décidément,  la bourgeoise était bien une bonne salope préférant la sodomie et la fellation à la pénétration vaginale. De son côté, juliette n'arrivant pas à faire passer le gland déclara forfait. Les trois putes restantes s'agitaient maintenant avec entrain sur les vits qu'ils leur défonçaient le cul. Le maître de Cunégonde me fit remarquer que des trois sodomisées, la mienne était celle qui s'enculait le plus profondément. Je lui répondit que plus c'était profond, plus cette salope aimait. Il eut un hochement de tête admiratif. Les trois femmes criaient de plaisir hurlant de concert que c'était trop bon de se faire défoncer le cul par de telles bites. Se tournant vers moi, l'homme déclara que mon épouse l'avait bien excité et que si j'étais partant, il aimerait bien se soulager dans sa bouche. Je donnais mon accord et de son côte  il me déclara que je pouvais en faire de même avec sa soumise. Nous mîmes donc devant les femmes qui nous prirent en bouche. Nos salopes étaient bien embrochées! Elles nous suçaient comme des mortes de faim et excités comme nous étions, nous ne mîmes pas longtemps à inonder leurs gorges. Ma femme fut la première à faire jouir son étalon suivie de Marie Astrid et de Cunégonde. Mais catastrophe, le classement final donnait trois ex-aequos. Devant ce dilemme, le directeur donna la solution. Celle des trois qui pourrait se faire fister tout en ayant une bite chevaline dans le cul l'emporterait. Nous fîmes une pose de une demi-heure afin que les femmes et leurs étalons puisse reprendre des forces. L'épreuve finale arriva. Les trois femelles reprirent leurs positions respectives. L'intromission anale se fit sans problème et la cavalcade anale reprit de plus belle. Juliette fut déclarée fisteuse et commença par Marie Astrid qui ne put recevoir que deux doigts dans la chatte. Ce fut au tour de Cunégonde qui n'accepta que quatre doigts. Pour mon épouse, tout allait se jouer là. Juliette commença par rentrer deux doigts qui rentrèrent facilement.  Voyant cela, elle mit quatre doigts sans problème. Juliette positionna alors toute sa main à l'entrée de la chatte et commença à pousser. Il y eût un temps d'arrêt à l'endroit le plus large de la main puis celle-ci disparut dans le vagin de ma femme qui poussa un rugissement de plaisir. Ma salope s'agitait maintenant faisant rentrer trente centimètres de vit dans son cul et toucher son col de l'utérus par la main qui la fouillait lui provoquant de multiples orgasmes. Elle fut déclarée vainqueur à l'unanimité et les personnes présentes applaudirent sa prestation. Le maître de Cunégonde se déclara très impressionné par ses performances. Il me proposa de nous recevoir dans son manoir où il y avait une pièce spéciale où il s'amusait avec sa soumise et où ma femme pourrait pleinement exercer ses talents. J'eu une illumination : la voix de l'homme qui me parlait était celle de notre député! Il organisait également des petites sauteries avec un groupe d'amis où tout était filmé avec port du masque pour la discrétion. L'homme politique dit que ce genre de film se vendait sous le manteau et que c'était un marché fort lucratif. Mon épouse pourrait rapidement en devenir la star au vu de ses prouesses . Je promis de lui en parler et que normalement,  elle serait partante. Voyant cela,  il me donna un numéro de téléphone pour le contacter si nous étions d'accord ce qu'il espérait de tout coeur. Ma salope me rejoignit et je la félicitais pour sa prestation impressionnante. Elle me répondit qu'elle avait jouit comme jamais lorsque qu'elle se faisait fister et enculer par Sultan. S'en était presque douloureux tellement c'était fort! Nous prîmes le chemin du retour fort satisfait de cette soirée.   Merci pour vos commentaires !?